Blaise Bersinger, samedi 20 septembre (20 h 30). Humoriste polyvalent, reconnu pour son style absurde, son autodérision et son humour décalé, Blaise Bersinger (né à Lausanne en 1987) collabore régulièrement avec la RTS, notamment dans l’émission 120 minutes, où ses chroniques absurdes et pince-sans-rire font mouche. En 2024, il est choisi par les CFF pour être un des visages de la campagne de promotion du changement d’horaire. Son humour rappelle parfois les Monty Python. Sur scène, il impose un style percutant où chaque mot compte.
D-Fender & Showcave, samedi 27 septembre (21 h). Groupe explosif mêlant rock, rap et électro, D-Fender est formé par des artistes aux influences diverses. Porté par une énergie brute et rebelle, le band du Prévôtois Patrick Dujany (alias Duja) propose une musique engagée et puissante. Les textes percutent, les sons électrisent, et chaque morceau est une invitation à lâcher prise. Sur scène, le groupe déploie une présence intense avec des guitares saturées, des beats incisifs et des refrains fédérateurs. En coplateau, le groupe vaudois Showcave, un cocktail explosif que personne n’avait commandé mais que tout le monde veut goûter. Avec une lichette de pop, un shot de punk et une rasade de rock, le groupe s’amuse à brouiller les genres pour créer un son aussi catchy qu’imprévisible.
Nico Wind, vendredi 17 octobre (21 h). De son vrai nom Nicolas Gschwind, Nico Wind est un auteur-compositeur-interprète biennois, passionné par la chanson française. Son univers musical mêle des textes introspectifs à des mélodies inspirées d’artistes tels que Jean-Jacques Goldman, Calogero ou Francis Cabrel. Musicien polyvalent, il a exploré divers horizons artistiques : batterie dans des ensembles de jazz, chant en chorale, collaborations avec l’artiste suisse Cee-Roo, et tournées musicales. A travers les mots, les sons, les ambiances, Nico Wind raconte les interrogations et espoirs d’un trentenaire face au monde d’aujourd’hui. Il est question d’humanité, d’amour, d’actualités et d’inquiétudes. Quelque chose qui balance entre le personnel et l’universel, avec la musique comme un lien commun.
Eric Constantin, samedi 25 octobre (20 h 30). Produit moyennement pur des années 1980 vécues en Valais, Eric Constantin fait de la scène depuis ses 15 ans et il en a beaucoup plus aujourd’hui. Diverses animations et des spectacles d’étudiant-e-s le voient faire des débuts confus sur scène, mélangeant déjà musique et humour. Puis pour ses études en lettres il migre à Fribourg où il se lancera, en parallèle à ses débuts dans l’enseignement secondaire.
Professeur de littérature, il a fait rire ses classes pendant des années avec Baudelaire, Victor Hugo ou encore Albert Camus pourtant peu connus pour leurs blagounettes ou leur caractère boute-en-train. En 2017, c’est le tournant. Il réalise un rêve : intégrer l’équipe prestigieuse des Dicodeurs. Avec « Voltaire, Rimbaud, Internet & moi », il se lance le défi de vulgariser les grands textes entre rire et culture. Il revisite les classiques et les figures de style de manière décalée, passant d’une conférence qui vire au fiasco, à des chansons ou des jouets d’enfants…
Le programme des mois de novembre et décembre sera présenté dans notre édition du mercredi 20 août. (cp-oo)

