Du monde, des animations, un lâcher de ballons, un feu d’artifice et des stands minutieusement achalandés. Tel est le bilan de la 4e exposition bisannuelle de l’Union des commerçants et artisans de Reconvilier, (UCAR) qui s’est tenue du 6 au 8 mai à la Salle des fêtes.
« Trois mille cinq cents », c’est le nombre estimé de personnes qui ont déambulé à travers les vingt-cinq stands de l’exposition de l’UCAR. Sans contrôle à l’entrée, les organisateurs n’ont pas pu donner de chiffres précis, mais, d’emblée, le public a répondu présent, sur trois jours, sauf un peu moins le dimanche, jour de la fête des Mères. « C’est notre meilleure cuvée », soulignent Christian Bonjour, président et Serge Droz, directeur de l’expo. Pour eux, ce succès est aussi dû à une envie effrénée de tout un chacun de se rencontrer après une pandémie qui nous a cloués à la maison. « La presse et surtout La Semaine nous a aussi fait un bon écho en annonçant la manifestation », relèvent-ils.
Animation high-tech et folklorique
Sponsorisé par Flavio Torti, un magnifique feu d’artifice de six minutes en a émerveillé plus d’un samedi soir à 21 h 55. Les soirées ont été agrémentées par des jeux de lumières et musicaux du pôle de formation des techniscéniste de Gil Ceré. Sans oublier l’Ecole de schwyzoise de Reconvilier qui a donné une touche folklorique aux sons de l’accordéon dimanche, et Jacky Thomet pour l’animation musicale de tous styles de vendredi et samedi soir.
Hôte d’honneur, la commune de Tramelan avait aussi son stand. « On a profité de l’occasion pour présenter la rénovation de la terrasse indépendante avec auvent de la piscine qui sera ouverte le 20 mai prochain », relèvent Qendresa Koqinaj Coçaj, conseillère municipale et Philippe Augsburger, maire de Tramelan.
« Une expo plus dynamique »
« Cette édition 2022 est mieux que celle de 2019, car elle est plus festive et plus dynamique, surtout au niveau de la disposition des stands », estime Ariane Gonella, secrétaire et troisième cheville ouvrière de la manifestation. C’est sûr, l’expo évolue de la meilleure des manières.
Roland J. Keller
