Soigner son image en studio est une démarche inédite et captivante
Comme de nombreux costumes ont été enfilés jusqu’à ce jour, il faut donc rivaliser d’imagination au moment d’opérer le choix des thématiques pour se renouveler. « Et pourquoi pas une incursion dans un studio photo ? » A peine posée, cette question a trouvé une réponse affirmative et c’est en partant dans une inconnue totale que nous avons pris la direction du Studio 26, situé dans l’ancien dancing Help à Moutier. Légèrement pincés au début de la séance, les « modèles » se sont peu à peu déridés grâce au professionnalisme des photographes de service Virginie et Raphaël, passés maîtres dans l’art de nous mettre à l’aise. Zoom sur des captures d’images d’une richesse rare.
Passer d’une halle des maçons à un studio photo démontre qu’une campagne de soutien de La Semaine est plutôt fertile en contrastes. Nous avons donc troqué pelles et outils de mesure contre le confort du Studio 26 à Moutier. Après une première prise devant le bâtiment, c’est au photomaton que cette entrée en matière s’est poursuivie. Ce dispositif autonome de prises de photos est avant tout destiné à créer des souvenirs amusants et personnalisés.
Plus la séance avançait, moins nos sourires se crispaient…
Noël approchant à grand pas, le studio prévôtois a déjà revêtu un décor de circonstance ce qui s’est avéré fructueux pour nous décontracter sachant qu’en arrivant, nous avions un peu les « boules ». Et puis plus la séance avançait, moins nos sourires se crispaient… Les photographes Virginie et Raphaël ne sont évidemment pas étrangers à cette métamorphose, leur professionnalisme ayant sérieusement contribué à cette relaxation libératrice. Comme on dit dans le jargon, nous avons fait feu de tout bois, chaque possibilité de prise de vue ayant été exploitée sans la moindre retenue. On pense notamment à des téléphones « vintage » qui sont apparus comme des accessoires nous permettant de ne pas perdre le fil… des opérations. Dans un grand dressing truffé de tenues et d’accessoires, nous avons laissé libre cours à notre imagination en nous munissant de chapeau et lunettes non pas dans le but de fêter carnaval avant l’heure, mais plutôt pour varier la panoplie des artifices. Lorsque la séance s’est terminée, une pause-café biscuits s’est imposée pour ressasser les moments forts d’un après-midi très agréable qui nous a permis de soigner notre image dans un cadre accueillant, spacieux et pensé pour le confort des clients et créateurs. Notre campagne de soutien est donc parfaitement lancée pour attaquer les nombreux défis de 2026. Nous profitons d’ailleurs de l’occasion pour remercier tous les ANNONCEURS qui nous témoignent leur confiance. C’est grâce à eux qu’il est possible chaque semaine de véhiculer des informations sur les manifestations, le sport, la culture, l’économie, la politique, la formation, le bénévolat, etc. Dans une région où les quotidiens opèrent leur mue en s’acoquinant, où les médias électroniques pullulent, reste-t-il encore une place enviable pour un hebdomadaire gratuit ? Oui, bien sûr, car le papier offre une dimension tactile et esthétique qui n’est pas reproduite par les supports numériques. La lecture d’un journal fait partie d’un rituel auquel on est très attaché. Et puis d’autres facteurs entrent en ligne de compte comme la proximité, la positivité et l’originalité des papiers « maison » qui permettent à notre lectorat de s’identifier pleinement à notre hebdomadaire fondé en 2007. D’ores et déjà, nous vous remercions pour votre générosité et vous souhaitons avec le sens de l’anticipation qui nous caractérise, de belles fêtes de fin d’année. Olivier Odiet
MERCI
Relevez avec nous les défis que l’année 2026 va nous réserver en contribuant à assurer la pérennité de votre hebdomadaire régional
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