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La forêt pour entrer en campagne

Edition N°41 - 4 novembre 2020

C’est la thématique du bûcheronnage qui a été retenue pour illustrer la campagne de soutien 2021 de notre hebdomadaire. Quoi de plus ressourçant qu’une escapade en forêt pour s’extirper l’espace d’un instant d’une situation troublée ? Durant cette période d’incertitude qui frappe les médias en plein cœur, votre contribution sera plus précieuse que jamais. Toute l’équipe de La Semaine vous remercie déjà pour votre élan de solidarité. De gauche à droite : Giuseppe Campagnano, Géraldine Wiedmer, Olivier Odiet, Ani Schindler, Manuela Belmonte et Anthony Picard. Lire en pages 12 et 13. (photo Roland J. Keller)

Après la fromagerie l’année dernière, c’est le thème du bûcheronnage qui a été retenu pour lancer notre campagne de soutien 2021. La Semaine tient à remercier Roger Gerber et toute son équipe pour l’accueil chaleureux et le prêt de l’équipement complet enfilé dans la forêt de Béroie sur les hauteurs de Bellelay. Quoi de plus symbolique qu’une étape forestière pour marquer le début d’une nouvelle ère ? Oui, notre journal a plus que jamais besoin de votre soutien durant cette période incertaine qui n’offre aucune visibilité. Merci d’avance pour votre générosité.

La pandémie n’épargne personne et surtout pas le monde de la presse touché de plein fouet par la baisse des annonces inhérente à la situation actuelle. Ce constat s’est principalement vérifié au printemps dernier, lors de la première vague où notre pagination fut réduite de manière conséquente en raison notamment de l’annulation des manifestations.

Ne pas céder aux lamentations !

Plutôt que de s’engouffrer dans la brèche de la résignation, c’est la piste de la remise en question qui a été privilégiée.
A l’instar des autres entreprises, les effets de la crise sanitaire se traduisent concrètement par l’opportunité de se réinventer, de sortir des sentiers battus, d’explorer de nouvelles idées, bref de faire feu de tout bois pour ne pas disparaître du paysage médiatique. La Semaine a donc décidé de prendre le taureau par les cornes en activant différents leviers dont l’élargissement du réseau de correspondants, la création de nouvelles rubriques et la consolidation de sa philosophie initiale : la proximité. Ce vent de dynamisme incarne une volonté marquée de se profiler comme un vecteur d’informations
imprégné d’un parfum rafraîchissant. L’heure n’est pas venue de céder aux lamentations, mais plutôt
de passer à l’action, de lorgner vers de nouveaux horizons, d’affirmer son ancrage. C’est souvent en temps de crise qu’il est possible de grandir, de prendre de la hauteur et d’atteindre les objectifs sans s’embarrasser de fioritures inutiles. Préserver une vision positive des choses en toute circonstance est en quelque sorte l’ADN de notre hebdomadaire qui, par son caractère régional, a la chance de pouvoir présenter un tableau plus reluisant que les quotidiens appelés à retracer l’actualité nationale ou mondiale. Dès 2021, La Semaine s’engagera à relever de nouveaux défis avec l’aide de ses fidèles annonceurs qui, rappelons-le, font vivre un journal non subventionné. Votre soutien apporté dans le cadre de notre campagne 2021 est également très précieux et nous ne pouvons lâcher qu’un seul mot pour exprimer notre reconnaissance : MERCI !

Olivier Odiet

 

Avant la 2e vague !

Le reportage photos de notre campagne de soutien a été réalisé avant les nouvelles mesures sanitaires prises par les autorités supérieures pour faire face à la deuxième vague de la pandémie.

(oo)

C’est la thématique du bûcheronnage qui a été retenue pour illustrer la campagne de soutien 2021 de notre hebdomadaire. Quoi de plus ressourçant qu’une escapade en forêt pour s’extirper l’espace d’un instant d’une situation troublée ? Durant cette période d’incertitude qui frappe les médias en plein cœur, votre contribution sera plus précieuse que jamais. Toute l’équipe de La Semaine vous remercie déjà pour votre élan de solidarité. De gauche à droite : Giuseppe Campagnano, Géraldine Wiedmer, Olivier Odiet, Ani Schindler, Manuela Belmonte et Anthony Picard. Lire en pages 12 et 13. (photo Roland J. Keller)