Comme à son habitude, la troupe du lieu a concocté un programme varié, susceptible de plaire à un large public.
En ouverture de saison, ce sont les deux humoristes genevois Brigitte Rosset et Marc Donnet-Monay qui ouvriront les feux en interprétant un couple dans la comédie « On ne se mentira jamais » d’Eric Assous. Troupe régionale invitée cette année, le Clos-Bernon de Courtelary proposera « Féminines » une pièce de théâtre relatant l’histoire vraie de la première équipe de foot féminine française dans les années 1960. Les Tréteaux d’Orval prendront ensuite le relais pour la première de ses productions avec « Fallait pas le dire » de Salomé Lelouch, comédie spécialement écrite pour Evelyne Bouix et Pierre Arditi et qui raconte quinze situations cocasses du quotidien d’un couple autour de la parole. Avec « Le silence », une conférence-spectaculaire interprétée par Matteo Fantoni du Teatro insonne, on entre dans l’atelier d’un luthier qui nous apprend, avec humour et délicatesse, tout sur la fabrication d’un violon. La compagnia Due présentera « Avanti », un duo de clowns tessinois qui, par un feu d’artifice de numéros de cirque comiques et magiques, entraînera petits et grands dans un monde fantastique.
Les Tréteaux d’Orval pour une conclusion en apothéose
Du cabaret-théâtre avec le retour d’Antoine et Charlotte et leur nouveau spectacle « Au tribunal du ça s’fait pas ». Chansons et textes caustiques, piquants et humoristiques. Dans « Ça veut jouer ou bien ? » le Neuchâtelois Robert Bouvier, ex-directeur du théâtre du Passage, se raconte avec facétie et autodérision en incarnant un personnage lunaire qui croit dur comme fer à la méthode Coué.
Et pour terminer la saison, les Tréteaux d’Orval remonteront sur scène pour présenter leur deuxième production « Deux euros vingt » de Marc Fayet, une comédie où trois couples en vacances sont confrontés à un problème d’argent qui disparait.
(cp)
www.theatre-atelier.ch
La billetterie et les réservations par téléphone seront disponibles dès le 21 septembre.